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et comme les échelles ne sont plus possibles chez orange.sa au cac40 alors on met en concurrence les sous trai
Par Michel CPE AIX, le 20.07.2015
je viens vous annoncer la date de la première audience pour le procés ce sera le 27 mai 2015 à 14h au t g i d'
Par LACHAUX, le 03.04.2015
merci stéphane.
de s dizaines et des dizaines de messages nous sont adressés pour m. rieux et ses enfants sur
Par achm34, le 09.01.2015
je suis triste pour gérard .... je n'ai pas les mots mais je pense bien a lui et je suis la si il a besoin de
Par Tagliavacca, le 07.01.2015
bonjour, cet arrêt va dan sle sens d'une évolution de la société, et il tient compte des méthodes de managemen
Par lya , le 01.10.2014
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Date de création : 20.04.2012
Dernière mise à jour :
16.02.2018
122 articles
Stop à la violence sexiste au travail!
Soutenez une Convention de l’OIT!
Du 30 octobre au 13 novembre 2014, le Conseil d’administration de l’Organisation internationale du travail (OIT) se réunit et pourrait décider de mettre ces violences à l’ordre du jour des travaux de l’organisation.
Appel Urgent !
STOP aux violences contre les femmes au travail !
A l'initiative de Peuples solidaires, de la CGT ET CFDT
La violence est la principale cause de décès et d’incapacité des femmes âgées de 15 à 44 ans. Cette violence s’exerce notamment au travail. Menaces, harcèlement, violences physiques et sexuelles : selon les pays, on estime que 30 à 50 % des femmes subissent des avances sexuelles, des contacts physiques non désirés ou d’autres formes de harcèlement sexuel au travail. Ce problème mondial exige une réponse mondiale : l’adoption d’une convention internationale contre les violences sexistes et sexuelles.
La violence sexiste reflète des relations de pouvoir inégales entre femmes et hommes et contribue à perpétuer ces inégalités. La violence sexiste au travail, qu’elle soit commise sur le propre lieu de travail ou sur le trajet depuis ou vers le travail, peut prendre des formes multiples, notamment :
Les auteurs de violences dans la sphère du travail peuvent être des collègues, des supérieurs hiérarchiques, des clients. Les violences perpétrées en dehors du lieu de travail ont aussi une influence sur le travail puisqu’elles causent des absences ou perturbent l’activité professionnelle.
Toutes les femmes peuvent être victimes de violences au travail mais certains groupes sont particulièrement vulnérablescomme les travailleuses migrantes, les homosexuelles, les femmes issues des peuples autochtones, les travailleuses souffrant de maladie ou d’un handicap, les personnes prises au piège du travail forcé.
Lutter contre les violences faites aux femmes au travail est extrêmement difficile pour une raison très simple : celles-ci sont bien souvent tolérées et socialement acceptées. De plus, certaines formes de violences comme les violences sexuelles sont si taboues que tout le monde – y compris les victimes – garde le silence.
Il est urgent d’élaborer une convention internationale sur la violence sexiste au travail pour que le sujet sorte enfin de l’ombre. Cela permettra à celles et ceux qui luttent contre ces violences de se faire entendre et poussera gouvernements et employeurs de tous les pays à prendre des mesures.
Nous avons actuellement une occasion unique pour agir : La décision dépend donc des gouvernements, des syndicats et des représentants des employeurs qui siègent à l’OIT. Or, si les syndicats français soutiennent ce projet, ce n’est pour l’instant pas le cas du gouvernement français ni des employeurs. La mobilisation citoyenne est indispensable pour les contraindre à réagir : signez notre pétition adressée à François Rebsamen, ministre du Travail, de l’Emploi et du Dialogue social, à Garance Pineau du MEDEF, représentante des employeurs à l’OIT et à Pierre Gattaz, Président du MEDEF.
Pour en savoir plus, téléchargez la présentation de la campagne Stop à la violence sexiste au travail ! Soutenez une Convention de l’OIT ! lancée par la Confédération Syndicale Internationale.